JEAN LOUIS LE VALLEGANT, LE PASSEUR
Jean-Louis Le Vallégant a fréquenté de nombreuses chapelles musicales sans jamais s’y laisser enfermer, préférant rester le nez dehors.
Assis, les mains croisées derrière la tête, Jean-Louis Le Vallégant cherche. Sa passion pour la musique, il ne se l’explique pas.
Il se souvient bien d’Auguste Salaün, « un sonneur de référence que personne n’a réussi à dépasser » (...)
S’il a pris aujourd’hui ses distances avec le milieu traditionnel, situant son travail entre la world et l’électro, la figure d’Auguste Salaün
continue de l’accompagner : « j’ai reçu son enseignement, j’ai mis 13 ans pour comprendre sa technique ».(...)
(extraits d'un article de Jérôme Thiébaut [Mai 2008])